1.Dans le cas des candidats qui sont déjà employés par l'État de Hesse en tant qu'employés publics, il doit être établi qu'ils quitteraient la fonction publique s'ils n'étaient pas nommés fonctionnaires.
2.La Grèce et Malte déclarent avoir conféré le caractère d'infraction pénale aux actes de corruption active et passive d'agents publics étrangers et de fonctionnaires d'organisations internationales publiques - conformément à l'article 16 de la Convention.
3.L'Afghanistan, le Brunei Darussalam et le Yémen indiquent qu'ils appliquent partiellement l'article 16; au contraire, Fidji déclare avoir conféré le caractère d'infraction pénale à la corruption active et passive d'agents publics étrangers et de fonctionnaires d'organisations internationales publiques - conformément à l'obligation fixée par l'article 16.
4.Le Guatemala indique avoir conféré le caractère d'infraction pénale à la corruption active d'agents publics étrangers ou de fonctionnaires d'organisations internationales publiques - conformément au paragraphe 1er de l'article 16, et ajoute qu'en revanche, il n'applique pas le paragraphe 2 de ce même article - qui n'est pas contraignant (et concerne la corruption passive d'agents publics étrangers et de fonctionnaires d'organisations internationales publiques).
5.L'Australie déclare avoir conféré le caractère d'infraction pénale à la corruption active d'agents publics étrangers et de fonctionnaires d'organisations internationales publiques - conformément au paragraphe 1er de l'article 16; en revanche, les autorités australiennes indiquent n'avoir pris aucune mesure en vue de conférer le caractère d'infraction pénale à la corruption passive des agents et fonctionnaires en question (cf. le paragraphe 2 de l'article 16).
6.La République de Corée indique qu'elle a conféré le caractère d'infraction pénale à la corruption active d'agents publics étrangers et de fonctionnaires d'organisations internationales publiques - appliquant totalement, de ce fait, les dispositions du paragraphe 1 de l'article 16; mais les autorités de la République de Corée ajoutent qu'elles n'appliquent pas, à ce jour, le paragraphe 2 de ce même article, qui n'est pas contraignant (et qui concerne la corruption passive de ces mêmes agents étrangers ou fonctionnaires).